J’ai été cliente pendant 2 ans de ce salon, que j’appréciais pour la qualité des prestations et le professionnalisme de ses employées.
J’ai en revanche été très déçue de l’attitude de la patronne, qui a tout bonnement refusé de me recevoir pour un retrait de semi permanent sur les pieds, que je n’avais pas fait chez elle. Elle a prétexté, avec un aplomb déconcertant, qu’elle ne prendrait pas le risque de bloquer un créneau en pleine été pour une dépose qui serait selon elle, impossible car « en Espagne, les compositions ne sont pas les mêmes qu’en France, et que cela ne permet pas le retrait du semi avec les produits français ». Je suis sidérée… c’est pourtant un vernis OPI qui m’a été posé, exactement les mêmes que ceux utilisés à l’Ibar. Je ne pense pas que les espagnols y rajoutent une composition cachée pour les rendre plus résistants aux produits de retrait français.
J’insiste, je lui dis que c’est moi qui prend le risque et pas elle, que j’accepte de prendre le rdv en toute connaissance de causes, qu’au mieux ça marche et tout le monde est content, ou au pire ça ne fonctionne pas, mais j’aurais été prévenue (ce dont je doute). Je comprends surtout à ce moment là, que ce rdv de dépose n’est pas rentable pour elle en plein été.
J’ai pris rdv avec un autre salon, qui n’a pas fait de chichis, et qui a accepté de me recevoir. Pour votre information Madame la patronne de l’Ibar, le vernis est partis sans encombres, comme je m’en doutais.
Je pense et j’espère que votre affaire prospère pour vous permettre de refuser de vendre une prestation et de perdre par la même occasion une cliente. Car avant vous régniez en maître sur la rue Huguerie, mais ça n’est plus le cas désormais.
Pour ma part, vous l’aurez compris, je n’y remettrais pas les pieds.
J’ai désormais trouvé mon bonheur 20 mètres plus loin, dans la même rue, dans un joli salon qui vient tout juste d’ouvrir, où l’accueil y est très aimable et chaleureux, et le travail très professionnel.
Je l’ai d’ailleurs recommandé à toutes mes collègues, anciennes clientes de l’Ibar. Comme le dit l’adage « Une cliente de perdue -> 10 clientes de perdues ».